Transition écologique-Intro
La transition écologique est désormais un élément de contexte pour nos sociétés contemporaines. Les conséquences des crises environnementales et les réponses politiques à ces crises produisent leurs premiers effets sur nos modèles économiques, nos modes d’organisation et nos modes de vie.
Canicules, incendies, pluies diluviennes, transformation des terroirs et des saisons, pénuries d’eau ou de matière, bousculent nos certitudes.
Accord de Paris, Stratégie Nationale Bas Carbone, Décret « Tertiaire », Zone à Faibles Émissions, stratégie « zéro artificialisation des sols », etc., changent le cadre réglementaire de ce que les architectes peuvent faire aujourd’hui et surtout pourront faire demain.
En première ligne de ces enjeux nouveaux d’atténuation et d’adaptation aux crises environnementales, et notamment climatique, le geste architectural et paysager est nécessairement bouleversé dans ses représentations et ses mises en œuvre concrète : sa matérialisation. Une fois passé le choc de la confrontation aux limites de notre planète et de la capacité du vivant à soutenir nos modes de faire, une fois digéré l’impératif besoin de changer radicalement notre approche, le contexte apparaît comme un magnifique terrain de jeu et d’investigation : nouvelles manières de penser ou régénération de visions anciennes, acquisition de nouvelles connaissances ou régénération de savoirs anciens, nouveaux matériaux ou régénération de matériaux anciens, etc.
Bien que fertile en initiatives porteuses, l’architecture n’a pas encore vraiment irrigué la société des transformations à la hauteur des enjeux. C’est le chantier auquel nous nous attellerons dans le cadre de ces deux jours de formation : comprendre l’ampleur du défi pour nos sociétés et comprendre les évolutions et contributions possibles du métier d’architecte/paysager dans ce contexte.
Canicules, incendies, pluies diluviennes, transformation des terroirs et des saisons, pénuries d’eau ou de matière, bousculent nos certitudes.
Accord de Paris, Stratégie Nationale Bas Carbone, Décret « Tertiaire », Zone à Faibles Émissions, stratégie « zéro artificialisation des sols », etc., changent le cadre réglementaire de ce que les architectes peuvent faire aujourd’hui et surtout pourront faire demain.
En première ligne de ces enjeux nouveaux d’atténuation et d’adaptation aux crises environnementales, et notamment climatique, le geste architectural et paysager est nécessairement bouleversé dans ses représentations et ses mises en œuvre concrète : sa matérialisation. Une fois passé le choc de la confrontation aux limites de notre planète et de la capacité du vivant à soutenir nos modes de faire, une fois digéré l’impératif besoin de changer radicalement notre approche, le contexte apparaît comme un magnifique terrain de jeu et d’investigation : nouvelles manières de penser ou régénération de visions anciennes, acquisition de nouvelles connaissances ou régénération de savoirs anciens, nouveaux matériaux ou régénération de matériaux anciens, etc.
Bien que fertile en initiatives porteuses, l’architecture n’a pas encore vraiment irrigué la société des transformations à la hauteur des enjeux. C’est le chantier auquel nous nous attellerons dans le cadre de ces deux jours de formation : comprendre l’ampleur du défi pour nos sociétés et comprendre les évolutions et contributions possibles du métier d’architecte/paysager dans ce contexte.