Eaux de pluie-Intro
Dans un contexte de raréfaction de la ressource en eau et de changements du régime des pluies, la valorisation des eaux de pluie s'impose comme l'une des solutions qui permet de réduire le stress hydrique et de limiter les impacts des épisodes pluvieux violents.
Autorisée depuis 2008 par l'arrêté du 21 août 2008, puis réglementée par les normes AFNOR NF-P16-005 (2011) puis NF-EN-16941.1 (2018), la récupération des eaux de pluie n'est pas ou peu maîtrisée par les différents acteurs du bâtiment alors que les maîtres d'ouvrages sont de plus en plus exigeants afin d'optimiser leurs investissements. Les collectivités qui intègrent la valorisation des eaux de pluie dans les PLU, exigent des résultats en termes de limitation du volume des eaux pluviales rejetées aux réseaux.
Les "fermiers" souhaitent contrôler le respect des normes de disconnexion afin de protéger leurs réseaux d'eau. L'intégration de la valorisation des eaux de pluie dans les labels (HQE, BREEAM, ...) impose une professionnalisation de chacun.
Dans le même temps, les collectivités souhaitent limiter l'apport d'eaux de pluie dans leurs réseaux d'assainissement en imposant via les PLU une gestion des eaux à la parcelle.
Il est de plus en plus courant de se voir imposer lors des dépôts de permis de construire la rédaction d'une notice d'eau pluviale exposant les solutions qui permettront de conserver sur place les eaux pluviales alors que cette expertise est encore méconnue.
Autorisée depuis 2008 par l'arrêté du 21 août 2008, puis réglementée par les normes AFNOR NF-P16-005 (2011) puis NF-EN-16941.1 (2018), la récupération des eaux de pluie n'est pas ou peu maîtrisée par les différents acteurs du bâtiment alors que les maîtres d'ouvrages sont de plus en plus exigeants afin d'optimiser leurs investissements. Les collectivités qui intègrent la valorisation des eaux de pluie dans les PLU, exigent des résultats en termes de limitation du volume des eaux pluviales rejetées aux réseaux.
Les "fermiers" souhaitent contrôler le respect des normes de disconnexion afin de protéger leurs réseaux d'eau. L'intégration de la valorisation des eaux de pluie dans les labels (HQE, BREEAM, ...) impose une professionnalisation de chacun.
Dans le même temps, les collectivités souhaitent limiter l'apport d'eaux de pluie dans leurs réseaux d'assainissement en imposant via les PLU une gestion des eaux à la parcelle.
Il est de plus en plus courant de se voir imposer lors des dépôts de permis de construire la rédaction d'une notice d'eau pluviale exposant les solutions qui permettront de conserver sur place les eaux pluviales alors que cette expertise est encore méconnue.